C’est à Saint Régis du Coin, où nous nous sommes donnés rendez-vous, que je retrouve par un superbe soleil, Pascale, Corinne et Philippe.

Le village pris dans la neige semble endormi, seule la fumée des cheminées donne un peu de présence, nous partons raquettes aux pieds.

Pour nous échauffer un peu, nous descendons à Fleury, petit hameau au bord de la Dunerette qui se situe à 989m d’altitude.

De là, pour rejoindre le Crêt de Chaussitre qui se trouve à 1240m, point culminant de notre sortie, nous monterons à travers champs, forêts et landes.

Par endroits, la couche de neige est aussi haute que les clôtures.

Un superbe panorama sur les monts du Forez, le Mézenc, le Pic Lisieux nous attend à la table d’orientation, nous profitons de cette pause pour nous restaurer et savourer un thé à la menthe préparé par Pascale.    

Mais en arrivant à la borne géodésique : changement d’orientation et de panorama, là c’est toute la chaine des Alpes qui s’offre à nous.

C’est les yeux remplis de ces belles images que nous regagnerons nos voitures.

Nous avons parcouru une distance de 10 Km pour 300m de dénivelé cumulé.

 Nous nous retrouvons huit courageux pour affronter cette journée de froidure.

Quand nous arrivons sur le plateau de Saint-Didier-En-Velay, la gelée a blanchi la campagne.

A La Séauve-Sur-Semène, notre parcours nous entraine le long de la rivière grossie par les pluies des jours précédents.

Nous traversons des lieudits aux noms pittoresques, Chantemule, Chaplat…jusqu’au hameau de Vial.

De là, nous grimpons sur le plateau en traversant prairies et forêts pour arriver à Tirvolet, le point culminant de notre randonnée : 885 mètres.

Dommage  pour le panorama : la brume masque le Mont Mezenc et le pic Lizieux…

 Pour notre casse-croute nous nous abritons de la burle dans le « Bois les Roches »

En raison de la météo, la chose sera vite expédiée, même si certains profitent de la « pause-café », certaines profiteront d’une timide apparition du soleil pour se réchauffer.

A la Croix d’Orcine, nous en profitons pour faire la traditionnelle photo de groupe.

Nous rentrerons par le « Bois des Dames », « Paulin » et ses dindons. 

Pour enfin rejoindre l’oratoire Sainte-Marguerite et notre point de départ. 

Nous avons parcouru 22km pour 434m de dénivelé.

Encore une bonne journée !

 Ce dimanche à 9heures nous nous retrouvons 7 au départ de notre randonnée à Pommerlet.

Malgré les prévisions météo catastrophiques nous nous dirigeons vers un lieu-dit Pommerol (si si, dans la Loire, mais sans les vignes) avec tout de même un….lama.

Le temps est bien couvert et l’atmosphère lourde, bien vite nous faisons une première halte pour retirer polaires et coupe-vent.

Si le village de Rochegut semble endormi, un drôle de chapelain semble attendre d’hypothétiques paroissiens.

Nous continuons notre chemin pour arriver au petit village de Martinange qui abrite une chapelle surmontée d’une belle cloche. Une petite pluie fine nous fait ressortir ponchos et coupe-vent.

 A l’entrée de Rozier-Côte d’Aurec un agriculteur finit de labourer son champ, une bonne odeur de terre fraichement retournée nous envahit les narines, midi sonne au clocher.

Compte tenu du temps pluvieux, nous décidons à l’unanimité de déjeuner dans un petit bistrot où la patronne nous accueille gentiment. Bien nous en a pris ! A notre départ le beau-temps est de retour.

Nous traversons les hameaux de Valmitte, Garaudet et Gabelon où nous pouvons y admirer d’anciens lavoirs, croix et autre chapelles.

Les sous-bois eux aussi nous réservent quelques surprises.

 Déjà nous arrivons à notre point de départ, nous venons de parcourir 23km et grimper quelques 700m de dénivelé.

C’est le premier jour de l’automne et la température matinale nous le rappelle.

Pourtant, nos nouveaux adhérents sont là, impatients de découvrir ce nouveau parcours.

C’est du parking de la plage de Saint-Victor-sur-Loire que nous démarrons notre périple.

Pleins d’entrain, nous montons au village par la petite route au fond du parking. Le clocher de l’église égraine neuf heures et le soleil commence à percer à travers les premières brumes de cette nouvelle saison.

Le village médiéval semble endormi, nous pouvons visiter ses ruelles tranquillement.

Nous rejoignons la vallée de Lizeron que nous remontons sous une frondaison de noisetiers.

Nous longeons la rivière Lizeron jusqu’aux meules de Roche-La-Molière. Là, nous découvrons un savoir-faire apparu au néolithique mais aujourd’hui disparu : l’extraction des meules. Cette technique consistait à creuser une petite rigole épousant la circonférence de la meule à extraire. Pour la décoller de la pierre, on enfonçait des coins dans le canal ainsi obtenu, qui était ensuite rempli d’eau. Le bois se gonflait et, par pression, la meule se dégageait alors vers le haut en se séparant de sa base : une véritable école de la patience !

Puis, notre chemin nous conduit au lieu-dit Landuzière.

Là nous changeons de vallée et descendons le lit asséché du Grangent et c’est bien connu : quand on descend, c’est pour mieux remonter ! Et c’est ainsi que nous atteignons le hameau d’Etrat.

Mais il est déjà 12H30, et nos estomacs commencent à tirailler, c’est sur la mousse du bois, Les Brosses, que nous dressons la table de notre pique-nique.

Après ces ripailles nous reprenons notre périple jusqu’au château « La Baraillère », maison forte du XIVe siècle qui tient son nom d'une famille Barailler.

Puis nous redescendons dans la vallée du Grangent pour remonter à « Le plat Guillaume ».

De là, le panorama sur la Loire nous récompense de tous nos efforts et c’est les yeux pleins de ces images que nous rejoignons la plage de Saint Victor en passant par l’école de voile. Il est 16H30, nous avons parcouru 21Km, avec un dénivelé de 520m.

 C’est de Sainte-Croix-en-Jarez que nous décidons de démarrer notre randonnée.

9 Heures sonnent au clocher de l’ancienne chartreuse, le soleil joue avec les nuages quand nous démarrons notre périple qui sera un « chemin de croix » : la Croix du Sud, la Croix du Cerisier, la Croix du Mazet, et la Croix de Montvieux.

Mais il est déjà midi passé et une brave âme a confectionné un banc de fortune qui nous invite à déjeuner.

Du Crêt de Montivert le panorama s’ouvre sur Pélussin et la vallée du Rhône.

La belle lumière de cette journée nous offre une vue extraordinaire.

Mais la forêt de La Grand-Brache nous abrite du soleil qui maintenant est au plus haut.

Au col de Pavezin les promeneurs ont envahi la terrasse du bar et René est en extase devant les belles motos stationnées.

C’est à Pavezin que nous rencontrons une charmante dame qui nous explique l’histoire de son village et de sa croix.

2.5Km plus loin nous retrouvons notre véhicule bien à l’ombre mais le parking si vide ce matin est, à cette heure, plein comme un œuf.

Nous garderons bien sûr de cette journée quelques courbatures, de bonnes couleurs mais surtout de superbes panoramas. « 22km et 1040m de dénivelé positif »